Stand de tir de Miaune~

Lun 3 Mar 2014 - 18:30

Gumi Megpoid

« Je suis une autruche, et toi tu seras un albatros ! »

green smile;; green eyes;; green hair;; and a lots of green, dirty and filthy feelings

Gumi t'es une petite naïve. T'es une petite Peter Pan des temps modernes,
et on te dit, et tu hausses les sourcils, et tu hausses les épaules.

Tu fais pleins de trucs qui n'ont pas vraiment de sens, et tu dis pleins de trucs qui en ont encore moins. T'as l'esprit bancale, mais les pieds bien sur terre - ta Terre à toi, ta propre petite vision du monde qui dissimule les coins les moins les reluisants du nôtre.

Tu t'es arrêtée de grandir un jour, comme ça, et sans t'en rendre compte,
ton corps a changé mais ton esprit est resté le même, dans ce petit centre de rêves encore intacts et d'illusions toujours bien réelles pour toi, tu t'épanouis à défaut de ne pas voir les même couleurs que tes semblables.

Ça doit être passionnant, de vivre dans ta tête, jeune demoiselle au pays des merveilles. Passionnant et déroutant, de se rendre compte de tous les messages cachés. De voir que chacun de tes mots incompréhensibles cache en fait une symbolique avec laquelle tu sembles seulement capable de t'exprimer.

Et comme une autruche t'as la tête dans le sable loin des autres. Et comme une autruche, t'as des ailes sans pouvoir les utiliser. Et tous les autres sont tellement de types différents d'oiseaux. Qui vont loin si loin, qui partent sans toi, et tu peux juste te contenter d'espérer pour eux qu'ils verront la mer.

Pendant que toi tu mords la poussière, en sachant que t'es différente, que ton cerveau est coincée devant un mur. T'es la RFA qui se cogne au mur de Berlin, alors que la RDA grogne derrière, et t'as peur, alors tu t'enterres pour ne pas savoir.

Tu t'enterres et t'entraînes les autres avec toi, t'aimerais qu'ils soient comme toi, qu'ils ne puissent pas se concentrer aussi longtemps que toi, qu'ils chantent et dansent comme toi et que le concept de honte leur soit aussi inconnu qu'à toi.

Mais les autres ont grandi. Et toi t'es restée là, au point zéro, la montre de ton frère dans une main et une piqûre amère te tiraillant le cou. Peu importe à quel point t'y mets de pansement Gumi, cette blessure là ne semble jamais cicatrisée.

Alors tu vis dans ton monde, où c'est toi et seulement toi qui gouverne, et parfois ça bouscule les autres. Et parfois c'est eux qui te bousculent.

Et la vie continue. Tu vois ça comme ça, avec tes propres couleurs.

A défaut de voir celles des autres.

Parfois tu te demandes à quoi elles ressemblent;; et tu te dis qu'elles doivent être belles.

Informations

tu ris, tu souris, oh Gumi, tu ris tellement fort que ça embaume la pièce, et ce n'est pas de ta faute si les gens autour te regardent e travers, tu ne peux juste pas t'empêcher de rire, ça vient comme ça, les fous rires, et c'est triste si ils te jugent, seuls ceux qui n'en ont jamais connu, peuvent porter jugement sur une personne qui s'esclaffe.

Et tu ris, oh si fort, ça te fait mal à la mâchoire, ça te fait mal aux côtes, tu ris si fort que t'as mal partout d'ailleurs.

Oh Gumi, tu continues, ça ne veut pas s'arrêter, tu tombes au sol, tu te plis en deux, t'as les mains sur les côtes et t'en es au stade où t'espères que ça se calme.

Oh Gumi, les gens s'inquiètent, les gens se tournent et se détournent, se fixent et tordent leurs doigts. Ils sont mal à l'aise, il faudrait que tu te calmes, que tu te contiennes, mais c'est impossible, ça sort de toi comme un ras-de-marée.

Oh, mon ange, petite fille, tu expires et inspires en recherche d'un oxygène qui semble cruellement te manquer. Oh, Gumi, tu souffres et t'as la bile au bord des lèvres. Oh, oh, on est tous si désolés, mais s'il te plaît ne fait pas ça. Oh, s'il te plaît ne te noie pas dans ces rires, s'il te plaît ne te noie pas dedans.

S'il te plaît rends-toi compte.
Rends-toi compte avant que tu te fasses plaquer au sol dans cette hôpital froid et ô combien si cruel.
Rends-toi que tu te mens avant que l'aiguille ne rentre dans ta peau.
Rends-toi compte des hurlements horrifiés et horrifiants que tu pousses avant que ta conscience ne s'évapore.
Rends-toi compte que tu inondes le marbre avant que qu'elle ne disparaisse à jamais. Que ta conscience ne revienne plus.
On te le supplie, on t'implore et on voudrait prendre ne serait-ce qu'un cinquième de ta douleur pour t'alléger un peu.
Trop tard.

Ton frère est parti et ta stabilité aussi.

FICHE CRÉÉE PAR REIRA DE LIBRE GRAPH'

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Kuroi Hitsuji

Aka La Muette

Parce qu'on m'accepte comme je suis
▲ Kuroi c’est un petit bout de femme absolument adorable et 100% japonaise. Elle est timide, bégaye et semble toujours vouloir disparaître de la pièce en baissant les yeux. C’est parfois un peu blessant pour ses interlocuteurs mais quand ils voient sa petite bouille d’enfant, ils ne peuvent que lui pardonner tout. Bon ça ne marche pas tout le monde ça lui facilite la vie.
▲ Kuroi là-dessus est une japonaise qui assume sa couleur de cheveux comparés à mes autres asiatiques (sérieux, rose, vert, blanc, wtf ?). Elle a toujours laissé sa chevelure aussi noire que l’encre sans jamais y toucher ou essayer de la changer. Elle la coupe toujours en un carré bien maîtrisé et droit.
▲ Kuroi a des yeux bleu ciel. Des yeux vraiment très profonds. Et surtout des yeux bridés, quand même, faut pas déconner.
▲ Kuroi est assez petite comparée à ses autres camarades, elle se sent tout le temps minuscule à côté d’eux, sincèrement. Elle fait un mètre soixante-quatre pour quarante-neuf kilos. Elle aussi ne se nourrit pas correctement mais ça, ça fait longtemps, elle garde cependant un poids plus ou moins correct et essaye de manger plus régulièrement.
▲ Kuroi a un style vestimentaire très simple mais aussi très coquet. Elle mélange des couleurs unies avec des couleurs pastel. Bien que timide et assez gênée des regards des autres, elle s’est spécialisée dans les tee-shirts longs et les collants ou les chaussettes longues. Mifuyu la trouve trop mignonne comme ça et la force à les porter le plus souvent possible, bien qu’elle ait du mal à porter des choses pareilles.
▲ Kuroi porte constamment son alliance à son doigt, si elle ne la voit elle risquerait de paniquer et de remuer ciel et terre pour la retrouver, sincèrement, c’est l’un de ses biens les plus précieux avec le collier de sa mère qu’elle garde dans un de ses tiroirs, bien rangé. Un collier c’est fait pour être porter mais elle se sent mal à l’aise à chaque fois qu’elle le met.

Qui suis-je ?
Kuroi Hitsuji ▲ 19 ans ▲ Etudiante ▲ compréhensive && douce && sensible ▲ timide && peureuse && soumise ▲ Bosse en librairie ▲

: Joy & crédit images

Aie confiance en toi-même, et tu sauras vivre.
— Commençons par une vérité générale car il faut bien. Kuroi est timide, extrêmement timide, le simple fait de parler avec quelqu’un ça peut vraiment la rendre hyper mal, surtout si la personne en question n’a pas l’air très à l’écoute ou quoi que ce soit. Pour elle, aborder quelqu’un c’est presque impossible, donc elle attend que ça se passe.
— Kuroi souffre d’anxiété sociale et déteste être entourée, seule, de beaucoup trop de personnes ou d’être le centre de l’attention. Lentement elle apprend à surmonter cet état mais ça reste tout de même assez laborieux pour elle et préfère largement s’isoler pour prendre des grandes goulées d’air frais. Y’a qu’ça d’vrai.
— Kuroi est douce et toujours à l’écoute. Elle est l’épaule sur laquelle on peut pleurer, elle est oreille qui va nous écouter, une chose est sûre c’est une amie en or, le problème c’est qu’elle s’est souvent faite abusée dans le passé avec des gens qui venaient juste la voir pour vider leurs sacs et qui ensuite ne lui adressait plus la parole. Et elle n’a jamais relevé.
— Kuroi a horreur de ne rien faire. Elle ne peut pas rester plus d’une demi-heure assise sur un canapé à regarder la télé par exemple, ça c’est impossible. Il faut qu’elle se lève, aille ranger quelque chose, se servir à boire, entamer un livre, puis ensuite retourner à son programme. Elle change constamment d’activité car elle a la bougeotte et si ça ne tenait qu’à elle, elle passerait ses journées à sortir avec Hime.
— Kuroi est légèrement maniaque quand même. Elle déteste lorsqu’il y a trop de bazar ou quelque chose qui traîne par terre, elle est obligée d’aller le ranger immédiatement. Un peu de poussière par-ci par-là ça ne la dérange pas, ce n’est pas non plus maladif mais elle aime bien lorsque les choses sont propres. Ça c’est son sang japonais qui parle.
— Kuroi est aussi extrêmement organisée, du moins dans son coin et aime bien que chacun de ses objets soit à sa place. Elle déteste perdre des choses vraiment, car elle déteste chercher après, ça l’énerve, mais alors ça l’énerve.
— Bien que Kuroi ne soit pas superstitieuse elle évite de passer sous des échelles, et fait très attention lorsqu’elle transporte un miroir avec elle. Ce sont des réflexes que sa mère lui a refilés, mais visiblement pas très bien car elle se coltine un chat noir avec elle.
— Kuroi est une victime, littéralement. Tu peux la frapper qu’elle ne répondra pas, ni physiquement ni par la parole, elle espérera qu’on la laisse tranquille. Hideko, Mifuyu et Touya lui ont proposé de lui apprendre à se battre mais elle n’a jamais accepté car elle estime qu’on ne doit pas toujours tout régler par la violence.
— Kuroi est excessivement sensible, et tout ce qui est triste ne serait-ce qu’un tout petit peu, la secoue comme pas possible et la fait pleurer, tout ce qui est effrayant la traumatisera pendant quelques jours et l’empêchera peut-être de dormir. Enfin, tout ce qui est effrayant… elle passera la majorité du film le visage caché dans une couverture alors bon.
— Depuis que Kuroi a emménagé avec Yann, avant d’aller se coucher, tous les soirs, elle vérifie à peu près trois fois si chaque porte et chaque fenêtre menant dans l’appartement sont belles et biens fermées à clé et impossibles à ouvrir facilement. Lorsqu’elle se lève en pleine nuit pour boire ou aller aux toilettes, elle se sent obligée de revérifier encore une fois.
— Kuroi, lorsqu’elle est gênée, effrayée, ou stressée a pour habitude de tourner son alliance trois fois dans son doigt.
— Kuroi est allergique aux bananes, si elle en mange des petites plaques rouges apparaîtront sur tout son corps, rien de bien grave mais tout de même, mieux vaut éviter.
— Kuroi a une sainte horreur des figues, des ananas, et des pruneaux. Par contre elle peut manger des tous les légumes possibles et inimaginables, cela ne lui pose aucun problème.
— Kuroi est allée dans sa vie seulement trois fois dans des fast-food, une fois avec sa mère, une fois avec Yann et une fois avec Hideko, Mifuyu, Gumi et Touya. Elle aime bien mais plus d’une fois par an elle ne pourrait certainement pas, c’est hyper gras ces trucs et ça lui donne envie de vomir si elle en abuse.
— Kuroi, malgré ses problèmes avec sa timidité, est une jeune femme forte et courageuse qui prend confiance en elle doucement et surement et qui serait capable de tout pour défendre ceux qu’elle aime.
— Kuroi est très intelligente et assimile les choses très vite. Chose la géométrie, ça la géométrie c’est son horreur, mais lorsqu’elle ne comprend pas quelque chose elle passera des heures à trimer si elle le faut mais elle y arrivera et elle assimilera le truc.
— Kuroi ne se met jamais vraiment en colère contre ceux qu’elle aime ou apprécie, la plupart du temps, elle boude. Ouais, comme une gamine. Awesome, hein ?

Et derrière l'écran, c'est qui ?

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▬ ft. personnage de série/artiste

Carnation : Blanc
Taille : 1m67
Corpulence : Fin et tout mou
Cheveux : Courts et châtains
Yeux : Caramels
Signe(s) distinctif(s) : Il a le corps parsemé de cicatrices - ainsi qu'une petite tête de chat tatoué sur le torse dont il est honfier (mélange honteux/fier)

▬ Bisexuel
▬« Waaaah mais qu'est-ce qu'il est moche mais il est horrible, mais c'est quoi cette horreur, mais sa mère l'a bercé contre un mur ?? C'est quoi son blaze Quasimodo ? Mais aaah ! Je gerbe et je peux faire plus beau que ça !
̶ C'est mon petit cousin !
̶ Ben je savais, l'air de famille est flagrant. »
▬ « Hey tu veux un burger ?
̶ Je savais que tu ne m'aimais pas.
̶ … Quoi ?
̶ La ferme, t'abuses.
̶ Mais-
̶ HEY TU VEUX DU MANGER DU GRAS CARRE ? Bah voilà c'est ce que tu me proposes. Tssk. Va me chercher des frites plutôt. »

TOUYA BLACKOlàlàlà mais c'est un peu fort de café tout ça !

▬ Âge : 19 ans ▬ Métier/études : ... Dans la merde ▬ Nationalité/origines : Américain ▬ Situation conjugale : Célibataire ▬ Situation familiale : Avait une sœur jumelle ▬ Situation financière : Se référer à métier/études

Un doigt devant et un sourire derrière, t'es vraiment l'anti-thèse d'agréable Touya.

Tu es un électron libre, mais la liberté a un coût et ce coût c'est ta solitude. T'es peut-être entouré, toujours quelqu'un avec toi mais t'es toujours seul. Y'a une partie de toi qui manque et ça va faire presque trois ans maintenant. Tu charries toujours, autant irresponsable qu'avant, cette personnalité de gamin capricieux ne t'a jamais quitté pourtant quelque chose s'est brisé en toi. Ton rire n'a plus exactement la même sonorité.

Mais ça personne ne le sait, t'as coupé les ponts avec presque tout le monde, et toutes celles qui aimeraient t'ouvrir les bras sont recalées. Pourtant ça ne t'empêche pas de déblatérer toutes tes conneries à la minute. Tu as réussi à atteindre un stade assez héroïque, battu le niveau millénaire. Tes provocations sont les seules à t'amuser, mais au fond, c'est tout ce qui compte, non ?

Allez au fond t'es sympas Touya. Mais pour ça faut juste te mettre en compagnie d'un enfant.

A votre propos

Pseudonyme : ...
Âge : ...
Commentaire : ...

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Hideko Hanabi

Aka le Blizzard

Blanche-Neige a bien changé...
▲ Hideko est spéciale, c’est incontestable. Tout d’elle inspire la peur et l’intimidation, elle transpire la violence et le désespoir. Personne de normalement constitué oserait s’approcher d’elle. Voilà, pourquoi.
▲Hideko est une jeune albinos qui est un vrai mystère pour la science. Elle a la dépigmentation de sa peau de ses cheveux, mais elle a une sorte de protection qui fait que ben, elle ne subit pas les petits vices qu'apporte cette maladie. Enfin, si elle reste trop longtemps au soleil elle est dans la merde, mais globalement elle ne va pas souffrir à chaque fois qu'un rayon touche sa délicate peau.
▲ Hideko a par conséquent les cheveux blancs comme neige ; sa peau semblant être faite de porcelaine également. La tignasse d’Hideko est toujours coupée très court et elle s’occuper de faire sa coupe elle-même. C’est donc toujours un peu grossier et mal fait et les mèches partent dans tous les sens mais ça lui va.
▲ Hideko a également les yeux rouges, non gris, mais rouges. Avec ses cheveux c’est ce qu’elle préfère de son corps. Malgré son visage très peu expressif ses yeux eux peuvent vous dévoiler pas mal de choses sur son humeur actuelle.
▲ Hideko est extrêmement grande et extrêmement maigre. Elle fait un mètre soixante-dix-neuf pour quarante-deux kilos, elle est presque ANOREXIQUE. Elle ne se nourrit globalement que de pommes pas parce que grossir l’effraie, elle s’en fout mais juste car les autres trucs ça la dégoûte. Pour rattraper son manque de certaines vitamines, elle prend plusieurs pilules par jour ; à défaut de la faire manger normalement gardons –la en vie. Même si elle se porte bien autrement, ses proches s’inquiètent quotidiennement pour sa santé. Et ça la gonfle.
▲ Hideko s’habille toujours très léger et très court, en été c’est normal, elle s’habille globalement de débardeur et de short en jean. Pas choquant. Par contre en hiver lorsqu’elle s’habille en débardeur et en jean, là par contre ça choque. Hideko est loin d'être frileuse et a visiblement un très bon système immunitaire, juste elle ne reste pas trop longtemps dehors lorsqu'il fait si froid, mais par contre lorsqu'il fait vraiment chaud et a l'impression de mourir.

Qui suis-je ?
Hideko Hanabi ▲ 20 ans ▲ Étudiante ▲ indépendante && compréhensive && patiente ▲ égoïste && impulsive && sarcastique ▲ Travail à temps partiel dans un garage ▲

: Joy & crédit images

Nique sa mère le blizzard.
— Hideko est jeune femme à présent, et c’est une femme indépendante. Elle se débrouille bien seule, elle est intelligente et sait se battre. Elle ne sera jamais la princesse en détresse ni le chevalier servant. Elle sert sa propre cause et elle sait où se situent ses limites. Elle n’a besoin de personne mais n’est jamais contre la présence de ceux qu’elle aime.
— Hideko est égoïste, triste à dire mais ce sont les aléas de la vie dans la rue. Si elle voit quelqu’un se faire agressée elle n’interviendra pour rien au monde, ce n’est pas son souci. Elle a dû se débrouiller seule, qu’ils se débrouillent à leur tour. Ce que font des petits cons et un soumis ce n’est clairement pas son problème.
— Hideko est imbuvable, c’est ouf de voir comment elle est imbuvable. Si vous voulez vous rapprocher d’elle et faire partie de son cercle de proches va falloir trimer car elle est méfiante, cassante et constamment sur la défensive.
— Une fois que vous êtes rentrés dans sa tête, vous découvrez une autre partie de sa personnalité. Une Hideko qui s’inquiète pour ses proches et qui déteste les voir dans des états pas possible. Elle remuerait ciel et terre pour les aider à aller mieux, elle irait décrocher la lune s’il le fallait.
— Hideko est tendre et aime bien faire des câlins et en recevoir, mais ne le dit jamais car quand même, c’est la loose.
— Hideko est une big fan des groupes de rock tels que Linkin Park, Falling in Reverse, et tout le bordel mais a aussi une passion secrète et inavouable pour le country. Non je déconne. Elle a aussi une passion pour les grands classiques comme Mozart et plus particulièrement Beethoven.
— Hideko ne l’avouera jamais mais elle a pleuré devant Nos Etoiles Contraires, et sérieux, elle n’assume pas.
— Par contre, elle assume avoir chialé comme une madeleine devant Le Tombeau des Lucioles. La simple idée de le revoir la rend toute chose.
— Hideko a eu tendance à être apolitique toute sa vie mais depuis qu’elle est rentrée dans la vie active elle tente tant bien que mal de faire des efforts mais c’est une prise de tête pas possible pour elle. Donnez-lui des équations ou un poème en coréen à traduire en français, elle vous les fait facile, ou alors débattre sur l’histoire française, c’est easy, mais là elle a atteint un tout nouveau level.
— Hideko se veut tolérante et ne fait pas la différence avec les gens, si vous êtes cool, tant mieux, si t’es un putain de connard peu importe d’où tu vois, elle n’aura aucune pitié pour toi.
— Hideko dirige un gang dans la ville, et le pire c’est qu’elle ne le sait même pas. Il y a plusieurs coins malfamés et abandonnés dans la ville qui craignent où les combats de rue sont de mises, et c’est elle qui l’a créé et a instauré des règles. Les mecs et meufs qui sont venus ont commencé à la respecter et l’idolâtrer et serait capable de la suivre partout. Et ça elle ne s’en est toujours pas rendu compte.
— Hideko n’a peur de rien. Littéralement, elle n’a peur de rien. Ni de la mort, ni des araignées, ni des hauteurs, ni du mauvais goût vestimentaire, elle n’a peur de rien. Vous aurez beau faire ce que vous voulez, vous ne pourrez pas lui faire peur.
— Hideko a été surnommée le Blizzard auprès de ses fidèles dans les ruelles et elle doit bien avouer que ça la fait bien marrer.
— Hideko est extrêmement rancunière, vous vous en prenez à elle ou un de ses potes vous êtes morts. Elle n'atteint pas cet extrême aussi facilement faut aller loin quoi car quand elle donne son affection c'est dur de s'en défaire.
— Hideko a traversé et est venue à bout de trois dépressions. Oui, trois dépressions, faut dire quand elle croit s’en sortir des évènements se rajoutent et lui en foutent tellement pleins la gueule.
— Hideko a tenté de se suicider deux fois, elle a échoué deux fois.
— Hideko a mis son passé derrière elle, la seule chose qui l’y relie est une hermine blanche qui l’accompagne depuis ses dix-sept ans. Le jour où la bestiole mourra, elle sera dévastée, je peux vous le garantir.

Et derrière l'écran, c'est qui ?

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▬ ft. personnage de série/artiste

Carnation : Blanche, asiatique
Taille : 1m69
Corpulence : Fine
Cheveux : Cheveux mi-longs lui arrivant un peu au-dessus des épaules, coloré en rose pastel
Yeux : Bleus
Signe(s) distinctif(s) : Elle est tatouée dans le dos, qui descend vers son flanc, d'une branche de cerisier en fleur

▬ Ambivertie
▬ Végétarienne
▬ « Hey Mifu' ! Quoi de neuf ?
̶ Oh pas grand-chose, enfin si une petite chose, en fait tu vois samedi je rentrais chez moi... […] et là elle se met à pleurer, du coup j'essaye de la réconforter mais elle pleure plus fort, tout le monde se tournait vers moi, pendant un instant j'ai cru qu'ils avaient appelé la police ! […] Il ne connaissait pas pokémon tu te rends compte ? J'ai dû me porter volontaire pour lui apprendre tu imagines ahah, puis il est doué, il a pris Salamèche ! […] Puis y'a eu une explosion […] Et voilà c'est à peu près tout. Et toi ?
̶ …
̶ … J'ai encore trop parlé c'est ça ? »
▬ « Je suis pacifique !
̶̶̶ ...
̶ … Ce Nosferapti l'avait cherché, Hideko et tu le sais ! »

MIFUYU AIKO YUUYAMI« Pourquoi s'acharner avec des nuances de gris ? La vie en rose c'est bien plus joyeux. »

▬ Âge : 19 ans ▬ Métier/études : Etudiante en science politique tout en travaillant en tant que rédactrice sur un blog ▬ Nationalité/origines : Italienne/Japonaise ▬ Situation conjugale : Célibataire ▬ Situation familiale : A deux demi-soeurs ▬ Situation financière : Moyenne

T'as une trop grande bonté Mifuyu, un jour ça te perdra et certainement plus tôt que ce tu crois.

Ce qui est bien avec toi Mifuyu, c'est que tu veux aider le monde, c'est que tu sais qu'il a des problèmes et que tu sais qu'il peut s'améliorer. Tu en as la conviction et cette conviction te fait marcher sur des braises ardentes.

Tu es déterminée à faire le bien, à aider et pardonner, quitte à laisser le tien, de bien, de côté. Tu pourrais te convertir en bonne soeur à ce rythme-là mais t'es trop occupée dans tes études en politique pour prendre ça en compte. Tu aimes les gens, peu importe à quel point ils te déçoivent. Tu refuses le pessimisme et oscille difficilement entre positivisme et réalisme à chaque nouvelle déception.

Et petit à petit tu viens peut-être à la réalisation que tu n'as pas la bonne parole et que tu ne peux pas sauver tout le monde. Mais t'es butée Mifuyu et tu refuses d'abandonner, Dieu seul sait si c'est une bonne chose ou non. Heureusement que tu as pokémon pour te remonter le moral dans les jours les plus sombres.
Et Hideko aussi. Mais elle, c'est une évidence.

Au fond tu vis pour les petits bonheur de la vie, p'tite rose, t'as pas la langue dans ta poche et t'espères faire sourire ainsi, et c'est louable. Surtout que maintenant, toi et une autre personne, vous ne verrez plus jamais les melons de la même façon. C'est des victoires comme ça qui te font continuer. T'en es fière, et tu n'arrêteras pas, pas jusqu'à ce qu'un mur de désillusion vienne te heurter. Tu l'attends de pied ferme.

A votre propos

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▬ ft. personnage de série/artiste

Carnation : Teint pâle mais rosé.
Taille : 1m62
Corpulence : Fine, sans réelles formes apparentes.
Cheveux : Blonds. Lui arrivant jusqu'au bas dos.
Yeux : Bleus étincelants.
Signe(s) distinctif(s) : Elle a quelques mèches roses dans les cheveux, provoqués par une blague faite à ses dépends.

▬ Vegan
▬ « Allô la Terre, Gaïa tu nous reçois ?
̶ Encore deux minutes mon commandaaant... »
▬ « Les étoiles sont magnifiques ce soir...
-̅̅Oui...
̶ Tu sais qui d'autre est magnifique ?
̶... Non ? ///
̶ La galaxie d'Andromède. »

GAIA KOSMOS "Hm... Euh, c'était à mon tour de parler ?"

▬ Âge : 17 ans ▬ Métier/études : 1ère ES ▬ Nationalité/origines : Grecque ▬ Situation conjugale : Célibataire ▬ Situation familiale : Fille unique ▬ Situation financière : Précaire

Perdue dans ton propre univers Gaïa, tu n'es rien d'autre qu'un électron qui se croit libre.

Tu te rends compte que le monde est moche. T'en es persuadée même, mais ce n'est pas pour autant que tu vas essayer d'arrêter de le changer. Au fond tu sais que tu n'es qu'une goutte de pluie dans un océan mais ça ne semble pas te déstabiliser plus que ça.
Tu caches tes miroirs, garde ta voix basse et hait la foule mais oui, aussi inébranlable qu'un rock.
Ta malice est cachée par ta susceptibilité.
Ta sensibilité passée à la trappe par ce trait rancunier qui ne semble jamais te quitter.
Peut-être qu'au fond, tes bonnes intentions, toi-même tu n'y crois pas et que ça se réverbère sur ton comportement, mais ça serait faire preuve de "psychologie de comptoir".

Mais au fond, ce qui t'empêche d'être cet électron libre dont on te parle si souvent Gaïa, c'est peut-être juste toi-même.

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